On attend la version colorisée de la dernière vignette. Le reste peut rester entre gris clair et gris foncé, c'est de circonstance...

so true.... and so bitter sweet ...

Jamais je ne prendrais JJG à partie pour mes histoires d'amour. Moi, j'ai un minimum de décence. Mais pas toi...

Joue pas. Pas avec moi. On sait jamais, jamais où ça finira. Pour peu que les soeurs Goadec s'en mêlent... J'écoute ma cornemuse à fond les hyperbasses, nom d'un épouvantail.

Moi j'aime les strips comme ça aussi ! Tiens j'en danse une scottish en hommage !

Mais d'abord faire de la place au cas où passerait une épouvantaille... Du coup, j'ai l'impression que ce blog énorme public (plus que grand public) devient hyperperso et dévoile ma vie chorégraphique plus que ta vie paternelle. C'est possible ou pas ?

Dis donc, entre la danse à carreaux sans sous vêtements et des rondes à la sauce tipiac, les kilos en trop ne vous atteindrons pas.

D'ailleurs, il manque des tabourets à cette histoire.

Et sinon pour en revenir au sujet, c'est avec des strips comme ça qu'on se rend compte de toute la profondeur de ton talent. Tu  nous tiens subtilement pour nous faire rire et pleurer. Vilain!

Cher Ernest, tu l'a bien mérité! Et paf!